|
J’y suis seulement monté il y a une dizaine d’année en Août pour faire une boucle par Tuquerouye vagues. Il n’y a pas de grosses difficultés techniques à la monté .Les barres rocheuses à franchir ne dépassent pas II , c’est une limite que je me fixe voir II sup si je doit redescendre par le même chemin
Par contre pour la descente selon divers témoignages le plus dur est de repérer le bon passage entamer la descente. Beaucoup de raides éboulis fuyants.
je te joins le texte du guide Ollivier pour monter au col d’astazous
Traverser les Rochers Blancs en écharpe par une série de cheminements assez difficiles à trouver et hors desquels on risque de se heurter à des dalles délicates de calcaire blanc. L'usage des semelles « Vibram a rendu ce passage beaucoup moins ennuyeux qu'autrefois. Quitter les Rochers Blancs par un sentier au flanc d’une pente herbeuse. On débouche sur un replat. S'élever franchement à gauche (E.) puis, après un nouveau replat et une traversée de flanc, aborder par la gauche un premier escarpement (rive droite orographique). Au-dessus, gravir une pente d'éboulis ou de neige (selon la saison) et franchir un escarpement analogue au premier, toujours en se tenant sur la gauche (rive droite). Surmonter un troisième escarpement de la même façon, puis passer rive gauche, au pied du dernier ressaut. Escalader les rochers à une centaine de mètres au S. de la cascade, en laissant à droite l'itinéraire de la brèche Passet (234). Au-dessus, revenir peu à peu vers la gauche (piste dans les éboulis). C’ette dernière partie reste longtemps couverte de neige : gravir de longues pentes raides jusqu'au pied de la barre rocheuse qui défend les abords du col d'Astazou. Ici, deux itinéraires sont possibles : en début de saison, on peut gravir, droit devant soi, un grand couloir de neige, qui aboutit à une brèche méridionale du col, au pied du Marboré. Mais cette voie n'est jamais la plus facile. Et, su cours de l'été ce couloir est fréquemment coupé d'une large rimaye. De toute façon, le second passage, situé sur 1a gauche et décrit ci-dessous, est préférable.
A gauche de l'escarpement, et tout contre un contrefort du pic d'Astazou s'ouvre un autre couloir, que l'on remonte jusqu'au pied d'une" paroi à -pic, contre laquelle i1 se termine. En sortir par la droite (rive gauche orographique du couloir) et aborder une nervure secondaire, qui forme la rive gauche du couloir. Escalader cette nervure au fil de la crête (série de banquettes faciles). La nervure se termine, comme le couloir, contre une paroi à -pic ; mais. à cet endroit-1à , une corniche facile et horizontale file sur la droite (S). La suivre sur environ 50 m. Au moment où elle se perd dans la paroi, grimper directement quelques mètres et revenir à gauche en écharpe. Il suffit alors de remonter vers le N.-E. une large pente d'éboulis (ou de neige) raide pour aboutir à , la brèche septentrionale du col. (3 h 30-5 h de Gavarnie).
Jacques
|
Connexion
M’enregistrer
FAQ
Rechercher
