Salut les amis !
Je ne résiste pas au plaisir de vous faire part de cet article sur libé qui concerne bien la dope et la montagne. La question que je me pose évidemment c'est de savoir si ces dames peuvent en profiter aussi. Allez, je gage que vous aurez une opinion sur ce dopant. Je réserve la mienne pour après vous avoir lu !
Pierre.
libé a écrit:
C’est en becquetant des pilules de Viagra que, vers la fin du mois, des alpinistes britanniques graviront l’Everest par sa face nord. Ce sera une formidable ascension. Comme chacun sait, les pilules bleues permettent de lutter contre certains troubles érectiles mais, en dilatant les vaisseaux sanguins des poumons, le citrate de sildénafil (nom de la molécule) induit également une meilleure oxygénation : il avait d’ailleurs été conçu à l’origine pour traiter l’hypertension artérielle pulmonaire.
Evidemment, la question que tous les observateurs se posent aujourd’hui n’est pas : «Le sildénafil potentialise-t-il les effets hypotenseurs des dérivés nitrés?» Mais : «Nos amis alpinistes vont-ils bander comme des ânes en arrivant sur le toit du monde ?» Eh bien ce n’est pas impossible : les aventuriers anglais sont bel et bien susceptibles d’atteindre un double sommet ainsi que des neiges éternelles, ce qui serait une nouvelle première sur l’Everest.
Le chef de l’expédition, David Hempleman-Adams, a voulu minimiser cet aspect d’une ascension d’abord organisée pour recueillir des dons au profit de diverses causes. Reconnaissant que des érections intempestives n’étaient pas à écarter, Hempleman-Adams a toutefois rappelé que le Viagra restait sans effets sexuels si sa consommation n’était accompagnée d’aucune pensée égrillarde. Or nous avons affaire à des professionnels, n’est-ce pas, qui ne pensent qu’à la performance et à leur piolet.
Mais pour être tout à fait complet, il faut signaler que cette équipe de montagnards endurcis sera accompagnée par une jeune femme, Gina Waggott, chargée de filmer l’expédition. Quelques portraits de l’intéressée entraperçus sur le Web laissent à penser que celle-ci pourrait émouvoir de grands garçons chargés à bloc de sildénafil. Certes, Gina n’est pas Ursula Andress sortant des flots en bikini, surtout qu’on la voit principalement en doudoune polaire. Mais la frimousse qui émerge de la capuche est suffisamment séduisante pour que, (...) Lire la suite sur Liberation.fr