Bonjour chers compagnons des cimes
Un joli sommet fait au départ à l'initiative de Ors, et réalisé 15 jours après à mon initiative
Nous partimes à 5 du caillou de Soques mais par un prompt renfort, nous nous retrouvâmes 6 le soir au refuge.
Dans l'ordre: Odile, nathalie, Isa, Ors et moi. Ensuite sont arrivés Sylvie, la petite nouvelle du groupe, et notre viking préféré.
Départ du parking en milieu d'après midi sous quelques couleurs Automnales, mais pas en direction de ce montre:
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Alain AZIMONT, sur Flickr
Je n'avais jamais vu de Gypaète jusqu'à présent, et deux en 15 jours. Ca frise l'overdose. Celui là est particulièrement net:
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En continuant à monter, on arrive au lac d'arrious, avec son pic sur la gauche, et l'Arriel au fond:
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On continue par le passage d'orteig
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Pour arriver au refuge, et finir par trinquer ensemble sous le vent et dans la froidure.
Ce soir là était le dernier de la saison pour le refuge qui avait fait le plein par la même occasion
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Le lendemain, départ vers 8h. Un vent inquiétant nous a fait craindre de ne pas y arriver, mais on a tenté quand même en se disant qu'il serait toujours temps d'aviser.
Donc direction le couloir ledormeur, finalement très facile à repérer. On a pas besoin de savoir qu'il y a deux cheminées avant. Il suffit de suivre un sentier bien balisé, de repérer une grosse fissure verticale évidente au milieu de la paroie, de se diriger vers le bas de cette fissure par une vire ascendante de gauche à droite, puis de là , de partir à l'horizontale sur la gauche. A ce niveau si on rate la cheminée, c'est qu'on a trop bu la veille.
Une cordée devant nous part vers le Von Martin (cadeau pour notre Basque bondissant)
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La fissure évidente, et sa rampe d'accès:
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L'équipe au pied de la rampe d'accès: (sauf moi qui ai déjà pris les devants):
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Le couloir:
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Après le couloir, le cheminement est évident, sauf vers le haut où j'ai un peu cherché, mais pas tant que ça non plus.
L'équipe arrive au sommet.
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Photo du sommet. Derrière nous, le départ, ou l'arrivée des géodésiens.
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La bonne, l'excellente nouvelle, c'est qu'il n'y a plus de vent
On va pouvoir redescendre par les géodésiens.
C'est Pierre qui part en tête. Moi je ferme la marche:
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Les passages sont exposés mais rarement supérieur à du II. On trouvera du II sup, mais là aussi, tout est parfaitement cairné, excepté peut être le contournement de la première pointe. Il faut repérer le passage avant.
Cette grosse pointe se contourne par la gauche. La petite aussi d'ailleur, mais je suis sûr qu'elle peut se passer facilement en restant sur le fil (je parle de la petite pointe là ).
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Après la pointe, on tombe sur cette espèce de taillante qui se passe par coté, et ensuite, ça redevient de la rando jusqu'à la fin.
On déjeunera au dessus de la brêche des géodésiens, et au grand désespoir de Sylvie, je sonnerai le départ de bonne heure, car il faut quand même rentrer jusqu'à Toulouse
Petit coup d'oeil sur le Bala:
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Au fond le Néouvielle:
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La descente se fera très rapidement jusqu'à la voiture dans une ambiance buccolique
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On avait préparé les cordes, mais finalement, on ne s'en est pas du tout servi.
Encore une belle sortie. Merci à toutes mes compagnes et mes compagnons de route.
D'autres photos là :
https://www.flickr.com/photos/50076101@N08/albums/72157689605349796Alain