Bonjour,
LeJojoc a écrit:
Les activités de neige apportent aussi des ressources dans des vallées qui seraient mortes sans ça. Les stations ont été construites ... exploitons les.
Je ne pense pas que ce soit un argument tenable. D'abord, économiquement avec les subventions accordées aux stations, pas certain que ce soit toujours bénéficiaire. Et surtout, cet argument peut justifier absolument toutes les atteintes écologiques : le nucléaire civil et militaire fait vivre beaucoup de monde, l'énergie carbonée également. On peut multiplier ces exemples.
medinenko a écrit:
Mezzzman a écrit:
mais de l'autre côté on pollue tout autant en allant randonner par exemple.
Essayons de laisser nos véhicules à moteurs à au maximum 1000 m d'altitude, ça limitera (peut être?) la pollution sur les hauteurs.
Et l'axiome de départ est difficile à définir : a partir de quand mon emprunte est-elle considérée comme pollution ? Certains parlaient du méthane des pets de vaches...
Au cœur de la problématique: faut il réfléchir en terme de pollution globale ou de protection de la zone montagne.
Je rejoins plutôt medinenko: on sait qu'en secteur urbain et en plaine agricole, le niveau de pollution ne pourra guère descendre à moins d'un changement radical de notre mode de vie.
La montagne reste donc le seul endroit encore défendable. Toute activité humaine en montagne est répréhensible . Faut il mettre une limite d'altitude aux véhicules, fermer les stations, raser les refuges, interdire l'élevage en estive ?
Et, pour finir sur une vraie polémique
: interdire les regroupements de catalans espagnols de plus de 1 personne ?
(rapport a la pollution sonore)